Перевод песни Si j'étais encore à tes côtés | Группа the phantom of the opera | Альбом Le fantôme de l'opéra

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Nous étions si bien, mon père, Tu étais mon ange. Nous étions de vrais complices Mais parfois tout change…

Мы жили так хорошо, отец, Ты был моим ангелом. Мы были по-настоящему единодушны, Но иногда меняется всё...

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Si j’étais encore à tes côtés, Si j’avais le cœur meurtri, Sans rien me dire, s’il fallait rire, Sans mal, tu aurais ri… Si je discernais ta voix encore Connaissant ce cœur qui doute, Tu me dirais de tirer un trait Quoi que partir me coûte…

Если бы я снова была с тобой! Если бы моё сердце было изранено, Ничего мне не говоря, если стоит смеяться, Ты беззлобно смеялся бы ... Если бы я услышала твой голос ещё раз... Зная мое сердце, которое сомневается, Ты сказал бы провести черту, Чего бы это мне ни стоило...

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Lourdes grilles et stèles de marbre, Croix et salamandres, Sont pour toi de noires compagnes, Toi si doux, si tendre… Doit-on pleurer autant d’années? Hier ne meurt-il pas?

Тяжелые решётки и мраморные надгробия, Кресты и саламандры - Слишком мрачное соседство для тебя. Ты был таким добрым, нежным... Сколько же лет плакать? Разве вчерашний день не умер?

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Si j’étais encore à tes côtés Non, tu n’es plus là pour moi. Quoi qu’il arrive, fasse que je vive Sans m’appuyer sur toi! Trop de souvenirs, De profonds soupirs, Trop d’années sans jamais Oser rien dire... Il est temps pour moi Il est temps pour moi

Если бы я снова была с тобой! Нет, ты больше не здесь, не со мной. Что бы ни случилось, я должна жить Без твоей поддержки! Слишком много воспоминаний, Тяжёлых вздохов, Слишком много лет Молчания... Пришло время, Пришло время...

The phantom of the opera

Le fantôme de l'opéra

Si j'étais encore à tes côtés French / Французский язык

Nous étions si bien, mon père, Tu étais mon ange. Nous étions de vrais complices Mais parfois tout change…

Si j’étais encore à tes côtés, Si j’avais le cœur meurtri, Sans rien me dire, s’il fallait rire, Sans mal, tu aurais ri… Si je discernais ta voix encore Connaissant ce cœur qui doute, Tu me dirais de tirer un trait Quoi que partir me coûte…

Lourdes grilles et stèles de marbre, Croix et salamandres, Sont pour toi de noires compagnes, Toi si doux, si tendre… Doit-on pleurer autant d’années? Hier ne meurt-il pas?

Si j’étais encore à tes côtés Non, tu n’es plus là pour moi. Quoi qu’il arrive, fasse que je vive Sans m’appuyer sur toi! Trop de souvenirs, De profonds soupirs, Trop d’années sans jamais Oser rien dire... Il est temps pour moi Il est temps pour moi